Ma dernière illustration en date.
Ces gens-là vous forcent à les aimer tant ils offrent. On utilise à tort et travers l'expression s'embrasser en y mêlant le goût du baisé. Où sont les bras qui enserrent, rassurent ? Les mains qui se joignent et caressent.
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Dans le doute, je préfère toujours croire le poète.
Je vais citer Marion pour te dire, "t'es fou, toi !" de me faire ça au bureau... J'ouvre la fenêtre d'avantpost et je tombe sur tes mots, les mots d'Apollinaire et cette illustration/cadeau.
Merci mon ami.
Rédigé par : Xavier | 04 décembre 2007 à 11:24
et moi qui découvre ça dans le café en bas de la maison, je me retiens de ne pas pleurer d'émotion.
merci pour tout Cyrille
Rédigé par : marion | 04 décembre 2007 à 17:13
des mots magnifiques, pour une illustration toute aussi magnifique, le mariage t'inspire.
beaucoupe de bonheur au futur mariés.
rodolphe
Rédigé par : rod | 05 décembre 2007 à 12:17