C'est une hypothèse la verticalité, mais c'est vraiment propre à New York. Je crois que tu es otage du froid en fait, de la même manière que l'on peut être otage de la chaleur dans certains pays où l'on bouge de clim' en clim'. Otage du froid et pour un photographe, otage de la lumière. En hiver à Stockholm le soleil se couche à 15/16h.
Moi, je me contente d'apprécier la collision des perspectives. Verticales, horizontales, obliques, qu'elles soient courtes ou longues. Une rectitude qui va même jusqu'à annihiler les prémices de l'arrondi, de la souplesse, de la douceur, suggérées par la voûte du tunnel, à droite. A mon sens, la plus intéressante des trois.
J'aime bien quand tu es otage d'une ville. La verticalité de la ville incite-t-elle à cela ou est-ce l'urbanité ?
Rédigé par : Xavier | 09 janvier 2009 à 19:53
C'est une hypothèse la verticalité, mais c'est vraiment propre à New York. Je crois que tu es otage du froid en fait, de la même manière que l'on peut être otage de la chaleur dans certains pays où l'on bouge de clim' en clim'. Otage du froid et pour un photographe, otage de la lumière. En hiver à Stockholm le soleil se couche à 15/16h.
Rédigé par : cyrille sethi | 10 janvier 2009 à 09:50
Moi, je me contente d'apprécier la collision des perspectives. Verticales, horizontales, obliques, qu'elles soient courtes ou longues. Une rectitude qui va même jusqu'à annihiler les prémices de l'arrondi, de la souplesse, de la douceur, suggérées par la voûte du tunnel, à droite. A mon sens, la plus intéressante des trois.
Rédigé par : Yves | 25 janvier 2009 à 16:12