La tignasse hirsute, roublard infréquentable, Bruno Richard traîne sa carcasse, une étoile bleue nuit gravée sous la chair du poignet. Il noircit aussi à l'encre sale des cahiers entiers de corps torturés, sexuellement asservis, des femmes, beaucoup de femmes. À la criée, comme ça, dans la viande, des textes fleuves, ses mots propres. Bruno Richard est un sale type formidable comme un artiste.
Elles sont de sortie, son journal sale, ainsi que l'excellent site du Magazine de l'homme moderne.
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